Même si autrefois la morale chrétienne
M'a conseillé cent fois de tendre l'autre joue,
Avant de m'effondrer, je veux, quoi qu'il advienne,
Vous dire que vous ne me verrez pas à genoux.
Vous cultivez si joliment l'indifférence,
Vos éloges attendris savamment dirigés,
J'en avais oublié toutes mes compétences,
J'ai failli renoncer, touchée, mais pas coulée.
Je me relèverai, j'en ai vu, et des pires
Que vous sans hésiter, j'ai souffert, je l'avoue,
Et pour me retrouver je saurai vous l'écrire,
Ne comptez pas sur moi à notre rendez-vous.
Touchée, mais pas coulée, je largue les amarres
Vers des horizons lointain, loin de vous, loin de tout,
Pour savourer le calme, loin de ce tintamarre,
Alors que même absent, vous étiez là partout.
N'attendez pas en vain, vous n'aurez l'autre joue,
J'ai de la rébellion encore à dévoiler,
Je me suis endurcie, seule au milieu des loups,
Passez votre chemin, touchée, mais pas coulée.
Ils ont été un certain nombre a essayer de me détruire de me faire craquer
Mais n'oubliez jamais vous tous qui avez essayer
qu'il faut toujours se méfier
de l'eau qui dort.................
Cath