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| textes à méditer | |
| | Auteur | Message |
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Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: textes à méditer Ven 3 Avr 2009 - 7:05 | |
| cadeau pour une orpheline
Une pauvre petite orpheline nommée Maria Un jour s'en allait au marché. Elle arrêta pour se reposer sur le bord de la route Où gisait un oiseau à l'aile cassée.
Un moment passa avant qu'elle le voit Car ses plumes étaient couvertes de sable. Mais bientôt, nettoyé et enveloppé il voyagea Dans la chaleur de la petite main se Maria.
Elle donna joyeusement son dernier peso Pour une cage faite de joncs et de ficelle. Elle le nourrit de maïs concassé du marché Et le vit devenir plus fort au fil du temps.
Maintenant la messe de la veille de Noël arrivait Et l'église brillait de glaçons étincelants et de lumière, Et tous les gens du village apportaient des cadeaux Qu'ils laissaient près de la crèche cette nuit-là. Il y avait diamant, encens et parfums En emballages dignes d'un roi, Mais à part un oiseau mal en point dans une petite cage, Maria n'avait rien à donner.
Elle attendit jusqu'à un peu avant minuit Pour que personne ne la voie entrer Et en pleurant elle s'agenouilla près de la crèche Car son cadeau n'était pas digne de Lui. Alors, dans la nuit une voix lui dit: "Maria, que m'apportes-tu? Si l'oiseau dans la cage est ton offrande, Ouvre la porte, laisse-moi voir!" Toute tremblante, elle fit ce qu'Il lui demandait Et l'oiseau s'envola hors de la cage, S'éleva vers les chevrons Sur un aile guérie aussi bonne qu'une neuve.
Juste à cet instant les cloches de minuit se mirent à sonner Et le petit oiseau commença à chanter Un chant qu'aucun mot définir Tant sa beauté n'était digne que d'un Roi. Maintenant Maria se sentit bénie simplement d'écouter Cette cascade de notes douces et longues Alors que son offrande s'élevait vers le Ciel Par le tout premier chant du rossignol.
auteur inconnu
Dernière édition par Sylvie le Sam 9 Mai 2009 - 11:51, édité 2 fois | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: LE DIAMANT ET LA GOUTTE DE ROSEE Jeu 16 Avr 2009 - 11:13 | |
| Un beau diamant, qui avait autrefois brillé au doigt d'une princesse, gisait dans un pré, à côté de pissenlits et de pâquerettes. Juste au-dessus de lui, brillait une goutte de rosée qui s'accrochait timidement à un brin d'herbe. Tout en haut, le brillant soleil du matin dardait ses rayons sur tous les deux, et les faisait étinceler.
La modeste goutte de rosée regardait le diamant, mais sans oser s'adresser à une personne d'aussi noble origine. Un gros scarabée, en promenade à travers les champs aperçut le diamant et reconnut en lui quelque haut personnage. - Seigneur, dit-il en faisant une grande révérence, permettez à votre humble serviteur de vous offrir ses hommages. - Merci, répondit le diamant avec hauteur.
En relevant la tête, le scarabée aperçut la goutte de rosée. - Une de vos parentes, je présume, monseigneur ? demanda-t-il avec affabilité en dirigeant une de ses antennes vers la goutte de rosée.
Le diamant partit d'un éclat de rire méprisant. - Quelle absurdité ! déclara-t-il. Mais qu'attendre d'un grossier scarabée ? Passez votre chemin, monsieur. Me mettre, moi, sur le même rang, dans la même famille qu'un être vulgaire, sans valeur ! et le diamant s'esclaffait. - Mais, monseigneur, il me semblait. Sa beauté n'est-elle pas égale à la vôtre ? balbutia timidement le scarabée déconfit. - Beauté, vraiment ? Imitation, vous voulez dire. En vérité, l'imitation est la plus sincère des flatteries, il y a quelque satisfaction à se le rappeler. Mais cette beauté factice même est ridicule si elle n'est pas accompagnée de la durée. Bateau sans rames, voiture sans chevaux, puits sans eau, voilà ce que c'est que la beauté sans la fortune. Aucune valeur réelle là où il n'y a ni rang ni richesse. Combinez beauté, rang et richesse, et le monde sera à vos pieds. A présent, vous savez pourquoi on m'adore.
Et le diamant lança de tels feux que le scarabée dut en détourner les yeux, pendant que la pauvre goutte de rosée se sentait à peine la force de vivre, tant elle était humiliée.
Juste alors une alouette descendit comme une flèche, et vint donner du bec contre le diamant. - Ah ! fit-elle désappointée, ce que je prenais pour une goutte d'eau n'est qu'un misérable diamant. Mon gosier est desséché, je vais mourir de soif. - En vérité ! Le monde ne s'en consolera jamais, ricana le diamant.
Mais la goutte de rosée venait de prendre une soudaine et noble résolution. - Puis-je vous être utile, moi ? demanda-t-elle.
L'alouette releva la tête. - Oh ! ma précieuse amie, vous me sauverez la vie. - Venez, alors. Et la goutte de rosée glissa du brin d'herbe dans le gosier altéré de l'alouette.
- Oh ! oh ! murmura le scarabée en reprenant sa promenade. Voilà une leçon que je n'oublierai pas. Le simple mérite vaut plus que le rang et la richesse sans modestie et sans dévouement ; il ne peut y avoir aucune réelle beauté sans cela.
auteur inconnu | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: l'amitié Mar 21 Avr 2009 - 13:20 | |
| L'amitié est rare, très rare, d'où son aspect précieux et marquant. On arrive à la fin de la vie et on essaie de compter ceux qu'on considère comme de vrais amis, ceux dont la fidélité a été sans failles, ceux qui vous ont aimé tel que vous êtes, sans vous juger ni essayer de vous changer. C'est dans les épreuves, les moments difficiles et parfois décisifs, que l'amitié se révèle et se consolide ou s'absente et tombe dans le commun de l'oubli. L'amitié est ce qui permet de désarmer la cruauté et d'affronter le mal. Elle peut avoir existé, avoir été sincère et forte, et puis se briser d'un seul coup, s'anéantir parce qu'elle aura manqué à l'un de ses principes fondamentaux, la fidélité, c'est-à-dire la constance dans la confiance, cette présence qui ne doit jamais faire défaut.
La trahison, c'est le fait de « manquer à la foi donnée à quelqu'un », c'est une forme d'abandon doublé parfois d'une volonté de nuisance ou d'une participation active ou passive à une opération de malfaisance. On agit contre quelqu'un à qui l'on devait fidélité. Souvent on agit par intérêt, par jalousie ou par vengeance et mesquinerie. Toutes ces notions non seulement sont étrangères à l'amitié, mais sont sa négation absolue. L'évêque anglican Jeremy Taylor (1613-1667) utilise l'expression « adultère d'amitié » pour parler de trahison : « La trahison et la violation d'un secret constituent les adultères d'amitié et dissolvent l'union entre les amis. » Dans ce sens, l'amitié est considérée comme un « mariage entre les âmes ». Quand on convoque le malheur et la convoitise, on révèle sa propre défaite, son incapacité d'avoir de l'amitié.
Or l'amitié est un état de grâce apaisé et apaisant. Il faut du temps pour atteindre cet état où le plaisir vient de la gratuité et de l'absence de quelque intérêt que ce soit. C'est en ce sens que la force d'une amitié peut s'effondrer parce qu'un élément impur s'est introduit dans la relation. Dans la relation amoureuse et sexuelle, la trahison, l'usure, le conflit et la guerre sont de l'ordre du possible. Ils font partie du jeu, sont admis même si l'on n'en parle pas. Quand un amour est trahi et brisé, on a du chagrin et on sombre dans une mélancolie profonde. On souffre du fait qu'on est face à une impossibilité, celle d'inverser le cours des choses. On a le sentiment qu'on ne se relèvera pas de cet échec. Pourtant, le temps fait son travail. Parce que l'amitié est à l'écart de toute satiété et de tout calcul, ces dérapages ne devraient pas arriver et en outre ils ne sont pas prévus. Le fondement même de l'amitié est l'absence de conflit pervers et d'intérêt dissimulé. Quand une amitié est trahie, la blessure est insupportable justement parce qu'elle ne fait pas partie de la conception et la nature de la relation, laquelle est une vertu, pas un arrangement social ou psychologique. Elle est vécue comme une injustice. Elle est incurable. On ne comprend pas et on s'en veut d'avoir donné le bien le plus précieux à quelqu'un qui ne le méritait pas ou qui n'a pas compris le sens ni la gravité de ce don. On s'est trompé et on a trompé. La rupture s'impose parce que l'amitié ne souffre pas de concessions avec le faux, la tiédeur et la perversité.
En amour, on peut solliciter et insister, la consolation existe. Tôt ou tard, l'oubli s'installe et l'émotion retrouve sa jeunesse et ses forces. En amitié, la consolation est illusoire, le deuil un précipice. Un ami, un vrai ne se remplace pas. On vit avec la blessure infinie, on s'entête à vouloir oublier, mais on sait que c'est un exercice vain. Pourquoi ce genre de blessure persiste-t-il dans la mémoire ? C'est le principe de la parole donnée qui n'a pas été respecté. La confiance abusée, cambriolée par la personne à qui on a laissé les clés, c'est l'effarement de découvrir qu'on a longtemps fait fausse route, qu'on a cru les mots dont on n'avait que l'enveloppe, ouvert sa maison intérieure, lieu intime du secret, et voilà que tout cela vole en éclats. La trahison est une forme silencieuse de meurtre. On tue le don et la grâce, puis on se masque. On prend place dans le coeur et l'amour de l'autre, on connaît ses repères et ses faiblesses, puis on en profite pour démolir la maison et fouler aux pieds la confiance.
Comment ne plus souffrir de ces blessures ? Comment choisir ses amis ? Quelle illusion ! Comment savoir, comment prévoir les métamorphoses de l'âme, ses errances, ses revirements ou sa fidélité et son intégrité ? Il n'y a pas de recette.
D'après Tahar Ben Jelloun, "Des blessures inconsolables", in Nouvel Observateur, décembre 2000. | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: Texte à méditer Sam 2 Mai 2009 - 13:03 | |
| "La réelle beauté des choses ne se remarque que très rarement au premier coup d'oeil"
Un homme et une femme qui habitaient à des kilomètres l'un de l'autre et qui correspondaient par Internet tombèrent en amour. Comme ils désiraient ardemment se voir, ils décidèrent de prendre l'avion jusqu'à Chicago et de se rencontrer à l'aéroport.
Pour pouvoir se reconnaître dans la foule, ils établirent un plan: La femme porterait un foulard vert, un chapeau vert et elle aurait un oeillet vert épinglé à son manteau; comme son avion arrivait un peu avant le sien, elle serait à la barrière et l'attendrait.
À sa descente de l'avion, l'homme commença immédiatement ses recherches. En quelques minutes il aperçut une femme qui se tenait un peu à l'écart de la foule et qui portait un foulard et un chapeau verts. Un oeillet vert était épinglé à son manteau. Le découragement l'envahit. C'était un des visages les plus ingrats qu'il eut rencontré dans sa vie. Il était presque prêt à repartir immédiatement sans même aller la voir.
Mais comme il s'était engagé, il s'avança vers la femme, lui tapa sur l'épaule, lui sourit et se présenta. Sans hésitation, la femme jeta: "Mais de quoi s'agit-il ? Est-ce pour une émission de télé ou quelque chose du genre ? Je ne sais pas du tout qui vous êtes. Cette femme, là-bas derrière la colonne m'a donné vingt dollars pour porter ces choses. Elle a dit que c'est important." quand l'homme se tourna vers la femme qui se tenait près de la colonne, il aperçut une des plus belles femmes qu'il eut jamais vu. L'homme s'approcha d'elle et ils se présentèrent.
Plus tard, au cours de la conversation, elle expliqua sa ruse: "Toute ma vie les hommes ont voulu me fréquenter ou être mes amis, à cause de mon physique. Je suis considérée comme une très belle femme. C'est pourquoi j'ai entrepris une relation par Internet. Je voulais rencontrer quelqu'un qui m'aimerait pas seulement pour mon apparence mais pour celle que je suis intérieurement."
(Auteur inconnu) | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: la robe rose Sam 9 Mai 2009 - 11:45 | |
| Il y avait une petite fille assise toute seule dans un parc. Tout le monde passait près d'elle et ne s'arrêtait pas pour voir pourquoi celle-ci avait l'air si triste. Habillée d'une robe rose un peu défraîchie, pieds nus, cette petite fille assise ne cessait de regarder les gens passer près d'elle. Elle n'essayait jamais de parler ni même d’attirer leurs attentions. Elle ne bougeait pour ainsi dire pas du tout tant sa tristesse semblait lourde à porter. Plusieurs personnes passaient près d'elle, mais pourtant aucune n'arrêtait. Chacun semblait bien trop préoccupé par eux-mêmes ou encore ne dégageait qu’indifférence à son égard. Le jour suivant, toujours intrigué, j'ai décidé, par curiosité, de retourner au parc afin de découvrir si elle était toujours là. Hé! Oui… elle se trouvait bien au même endroit que la veille, toujours habitée par cette même tristesse qui inondait son beau regard d’enfant. Aujourd'hui c'est décidé, je vais aller vers elle et lui parler. À mon avis, j’ai bien conscience qu’un parc plein de gens inconnus n'est pas nécessairement un endroit idéal permettant à un jeune enfant, étant seul de surcroît, de pouvoir y jouer et s’y épanouir. Plus je m'approchais, plus je pouvais percevoir que le dos de la robe de cet enfant cachait une sorte de forme étrange. J'ai songé qu’il s’agissait peut-être de la raison pour laquelle les gens passaient tout droit et ne s'arrêtaient jamais pour lui parler. Souvent, les défauts physiques sont mal perçus dans notre société et celle-ci va même jusqu’à vous isoler lorsque vous trouvez naturel de vous préoccuper d’une personne qui soit différente des autres. Comme je me rapprochais, la petite fille triste baissa les yeux pour éviter mon regard. Cela ne me découragea pas, mais plus je m'approchais et plus je pouvais voir nettement cette sorte de difformité dans son dos. Sa robe masquait grossièrement son infirmité assez marquante. Je lui ai souri afin de lui signifier que j’avais vu mais que c'était bien correct et que je désirais l'aider et lui parler. Je me suis assise à côté d'elle et j'ai débuté la conversation par un simple bonjour. La petite fille avait l'air surprise, et me répondit à son tour timidement après m'avoir observé longuement dans les yeux. Je me suis fait chaleureux avec les yeux pleins de tendresse, elle m'a souri à son tour. Nous avons parlé là, simplement, comme ça, jusqu'à ce que la noirceur s'installe et que le parc soit complètement désert. Je lui ai demandé pourquoi elle avait l'air si triste. La petite fille m'a regardé d'un air triste et m'a dit : « Parce que je suis différente ». Immédiatement je lui ai répondu : « Certainement que tu l'es » Puis, je lui ai souri tendrement. La petite fille a semblé plus triste encore et m'a répondu : « Je le sais ». Hé! « Petite fille, lui dis-je, tu me fais penser à un ange, gentil et innocent ». Elle m'a regardé, m'a souri, et doucement elle s'est levée : “Vraiment ?…” Dit-elle. « Oui! ! Tu es comme un ange gardien descendu sur terre pour prendre soin de tous ces gens qui marchent autour de toi ». Elle acquiesça d’un signe de la tête et sourit les yeux brillants d’une nouvelle lumière, puis sans que je puisse m’y attendre, elle ouvrit le dos de sa robe rose pour permettre à ses ailes de se déployer librement. Face à mon regard stupéfait, elle dit : « Je suis effectivement TON ange gardien » en me clignant un superbe clin d’œil. Je ne savais plus quoi dire, je pensais que je rêvais. Elle me dit : « Pour une fois tu as pensé à quelqu'un d'autre et non qu’à toi-même. Ainsi, mon travail ici bas est terminé, tu peux donc désormais continuer ton évolution avec mon patron qui est ton archange ». Je me suis levé et je lui ai dit : « Attends, explique-moi pourquoi personne n'a pris la peine de s'arrêter pour aider un ange ? (semblant si tristement en détresse). Elle m'a regardé et dit : « Tu étais le seul qui pouvait me voir » puis elle disparut. Au fond vous savez bien que chacun de vos amis est un ange à sa façon. La valeur d'un ami est mesurée par son cœur. Auteur inconnu. | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: La chose la plus importante dans la vie. Ven 15 Mai 2009 - 4:03 | |
| La chose la plus importante dans la vie
Aux Olympiades des handicapés, à Seattle, 9 athlètes, tous handicapés mentaux ou physiques, étaient sur la ligne de départ pour la course de 100 m. Au signalement du starter, la course commença. Tous ne courraient pas mais tous avaient le désir de participer et de gagner.
Ils couraient par 3, un garçon tomba sur la piste, fit quelques tonneaux et commença à pleurer. Les 8 autres l’entendirent pleurer. Ils ralentirent et regardèrent en arrière. Ils s’arrêtèrent et rebroussèrent chemin… Tous…
Une fille avec le syndrome de Down s’assis à côté de lui, commença à le caresser et lui demanda : “Ça va mieux maintenant ?" Alors, tous les 9 se prirent par les épaules et marchèrent ensemble vers la ligne d'arrivée.
Le stade entier se leva et applaudit. Et les applaudissements durèrent très longtemps...
Les personnes qui l’ont vu en parlent encore. Pourquoi ? Parce qu’au fond de nous, nous savons tous que la chose la plus importante dans la vie est bien plus que de gagner pour soi.
La chose la plus importante dans cette vie, c’est d’aider les autres à gagner. Même si cela implique ralentir et modifier notre course.
Alors, aujourd'hui, qui pourrais-tu aider à gagner ?
Anonyme
Aux Olympiades des handicapés, à Seattle, 9 athlètes, tous handicapés mentaux ou physiques, étaient sur la ligne de départ pour la course de 100 m. Au signalement du starter, la course commença. Tous ne courraient pas mais tous avaient le désir de participer et de gagner.
Ils couraient par 3, un garçon tomba sur la piste, fit quelques tonneaux et commença à pleurer. Les 8 autres l’entendirent pleurer. Ils ralentirent et regardèrent en arrière. Ils s’arrêtèrent et rebroussèrent chemin… Tous…
Une fille avec le syndrome de Down s’assis à côté de lui, commença à le caresser et lui demanda : “Ça va mieux maintenant ?" Alors, tous les 9 se prirent par les épaules et marchèrent ensemble vers la ligne d'arrivée.
Le stade entier se leva et applaudit. Et les applaudissements durèrent très longtemps...
Les personnes qui l’ont vu en parlent encore. Pourquoi ? Parce qu’au fond de nous, nous savons tous que la chose la plus importante dans la vie est bien plus que de gagner pour soi.
La chose la plus importante dans cette vie, c’est d’aider les autres à gagner. Même si cela implique ralentir et modifier notre course.
Alors, aujourd'hui, qui pourrais-tu aider à gagner ?
Anonyme | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: la caravane humaine Ven 15 Mai 2009 - 4:06 | |
| La caravane humaine
J'ai connu, dans ma vie, qui s'étire déjà pas mal, quelques grands vivants.
Ils n'étaient pas tous célèbres, loin de là. Mais ils avaient tous assez d'amour dans le coeur pour en donner à beaucoup.
Ils n'avaient pas tous un épais portefeuille, tant s'en faut. Mais ils avaient tous une grande passion dans l'âme qui donnait du sens à tout ce qu'ils faisaient.
Ils n'étaient pas tous très instruits, oh non ! Mais ils avaient tous développé une sagesse en leur esprit qui en faisait de merveilleux conseillers.
Ils avaient souffert, souvent même beaucoup maladies, échecs, abandons, trahisons. Mais jamais, ils ne s'étaient laissés abattre. Toujours, ils avaient rebondi devant l'épreuve.
Ils avaient compris depuis longtemps que donner est plus agréable que recevoir, qu'écouter est plus intéressant que parler, qu'admirer est plus utile que condamner.
Ils avaient découvert que l'intelligence sans le coeur est bien malcommode et que le coeur sans les mains ne vaut guère mieux.
Ils avaient trouvé aussi, souvent péniblement,que la vraie vie ne se vit pas tout seul. Il y a les autres sur qui on peut s'appuyer.
Ils avaient tous gardé un sens de l'émerveillement peu commun. Capables de se pâmer devant une rose fraîchement éclose autant que devant le sourire d'un enfant ou les mains ridées d'un vieillard.
Ils étaient ardent à l'ouvrage et fervents pour l'amour. Ils avaient la force des départs et le courage des recommencements. Ils avaient du coeur au ventre et aussi plein les mains.
Il émanait de leur personne une sorte de magnétisme qui donnait le goût de faire un bout de chemin avec eux. Leur seule présence inspirait confiance. Ils dégageaient beaucoup d'amour. On était bien avec eux.
A les voir, on avait le sentiment d'être meilleur. A côté d'eux, on avait envie de grandir. Ils avaient du feu dans les yeux et dans le coeur.
Bref, ils avaient le goût de vivre et ils donnaient le goût de vivre. * * *
Mais j'en ai connu d'autres qui avaient perdu ce goût de vivre et qui traînaient à pas lents une vie lourde de misères. Grands blessés, oubliés, déprimés, angoissés, perdus.
Ce n'était pas toujours de leur faute. Ils ont excité en moi la pitié, puis la compassion, et enfin l'amour. Je leur ai voué une bonne partie de ma vie. Ils sont devenus des maîtres pour moi et je compte parmi eux quelques-uns de mes meilleurs amis.
Et, il faut le dire, j'en ai connu enfin qui enlevaient aux autres le goût de vivre, qui utilisaient les gens plutôt que de les aimer. Mesquins, égoïstes, ambitieux, hypocrites, veules, jaloux, jugeurs, exploiteurs.
Eux aussi n'étaient pas toujours coupables. Ils m'ont souvent donné l'envie de vomir quand ils croisaient ma route. Peu à peu, cependant, ils m'ont appris la compréhension, la bonté et surtout le pardon. * * *
Dans la caravane humaine, il y a toutes sortes de marcheurs. Des leaders et des suiveurs, des infatigables et des fatigués, des joyeux et des tristes, des bons vivants et des agressifs, des grands, des moyens, des petits, des fins et des pas-fins, des forts et des faibles...
Les uns courent, d'autres s'essoufflent à rien, d'autres s'assoient sur le bord de route, d'autres enfin rebroussent chemin.
Mais tous sont portés ou emportés par cette marée humaine. Tous, même sans le savoir, sont avides d'amour, sont assoiffés de vie. Ils veulent VIVRE. Ils portent en eux, comme le trésor le plus précieux, cet acharnement à vouloir vivre.
Qui leur a rivé au coeur ce goût de vivre, dites-le moi ?
Jules Beaulac, Que c'est bon la vie ! | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: IL ETAIT UNE FOIS Ven 15 Mai 2009 - 4:24 | |
| IL ETAIT UNE FOIS
Une petite fée au regard esseulé, et au cœur déchiré, perdue dans les brumes de ses pensées. Elle souffrait, ses ailes devenaient ternes et s'affaiblissaient. Ses amis de la forêts, se sentaient impuissants, face à sa tristesse. - "notre amie , la fée, n'illumine plus nos sous bois" se disaient ils! N'osant l'approcher, lui parler de peur, qu'elle s'enfuie et que jamais plus, elle ne revienne.
Un matin, elle reçu de son ami le magicien, un petit paquet! Elle s'empressa de l'ouvrir, sans savoir ce qui l'attendait. Ses mains tremblantes, découvrirent, un livre, aux aspets magiques. Elle s'allongea dans le cœur,de sa petite chaumière, à l'ombre de ses pères, les chènes centenaires. Et ouvrit délicatement la première page de ce trésor. Alors se produisit, une chose incroyable, Un souffle de fraicheur envahissait son être si fragile, ses sœurs, les fées oubliées sortirent, sous une grâce infinie.
Tenant dans les mains plusieurs clefs, elles danseraient autour d'elles un long moment, en riant, en chantant, Puis disparurent, en les déposant prés d'elle, Notre petite héroïne, sentait bien que ce message était bon pour elle, mais elle n'avait pas encore compris ce que ces clefs, pouvaient lui apportaient. Elle se sentait bien, apaisée et quelque chose lui interdisait, de tourner d'autres pages, peu être aurait-elle eu peur de perdre la lumière de cet enchantement. Pour éclairer, afin de pouvoir regarder ce livre, elle se retourna et pris une bougie. Soudain, elle entendit, une petite voix derrière elle. En se retournant, elle vit une autre petite fée assisse,
- "ma sœur, n'est pas peur, ton ami le magicien, nous envoie, afin de t'envoyer ce message, tu te crois seule en ce monde, il en est rien, car nous avons toutes été choisi pour un seul destin. N'oublies jamais ceux qui t'ont créé, et ceux qui t'ont aimé, mais tu te dois en ce monde d'être là, pour ceux qui compte sur toi, car de leurs bonheurs, tu te nourriras. Et n'oublies jamais aussi, que ce monde est tel, car tu as omis de le façonner. En cultivant ta tristesse, tu as semer des graines aussi noires que tes pensées" lui dit elle.
-" Mais que veulent dirent ces clefs, et à qui servent elles? Et pourquoi ai-je peur de tourner d'autres pages?" lui demanda notre petite fée.
-" je ne peux te répondre, mais à toi, de trouver les serrures qui ouvriront les bonnes portes, tu as la chance de les détenir, tes amis de la forêt, ne pourrons pas t'aider, car ils savent pertinemment que tu as fermé certaines serrures, afin que personne ne puisse entrer, dans la chaleur de ton cœur" lui répondit elle.
-"et pour ce qui est des pages de ton livre, le magicien savait, que l'impression de connaitre la suite, te tenailleraient, et que ce sera ta force et ta détermination qui te donneront raison!"
En un instant, notre petite fée se retrouva seule dans l'obscurité, mais cette fois ci, sans doute, et sans question.
Et dans le miroir, qui était posé, face à elle, elle vit le reflet de ses ailes, s'illuminer, afin de fêter sa renaissance, et sa beauté.
Ce livre, elle le pris, et alla le cacher, sachant pertinemment, qu'elle l'ouvrirait, le jour où les portes de sa vie auront été choisi, et cette fois, pour l'éternité.
lau | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: L'âne du fermier Sam 18 Juil 2009 - 17:46 | |
| Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon. Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits. Et, à la stupéfaction de chacun, l'âne s'est tu. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait de plus en plus haut. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et qu'il se mette à trotter ! Morale : La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais... Il ne faut jamais abandonner !
Rappelez-vous 5 règles :
1. Libérez votre cœur de la haine. 2. Libérez votre esprit des inquiétudes. 3. Vivez simplement. 4. Donnez plus. 5. Attendez moins.
Source : Inconnu | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: Chiots à vendre ! Sam 18 Juil 2009 - 17:51 | |
| Un gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte où l'on pouvait lire : "Chiots à vendre". Bientôt un petit garçon fut attiré par l'annonce, et demanda : "À quel prix vendez-vous ces chiots?". Le propriétaire du magasin répondit : "Entre 20 $ et 30 $". Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie... "J'ai 2,37 $, est-ce que je peux les regarder ?". Le propriétaire du magasin sourit, et siffla. Sa chienne, nommée Lady, courut hors du chenil, vers l'allée de son magasin, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière... Immédiatement, le petit garçon choisit le chiot boiteux resté en arrière. Il demanda : "De quoi souffre ce petit chien ?". L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche qui le ferait boiter pour le restant de sa vie. Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit : "C'est le chiot que je veux acheter !". L'homme répondit : "Non, tu ne peux pas acheter ce petit chien, si tu le veux vraiment, je te le donne! "Le petit garçon devint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit "Je ne veux pas que vous me le donniez, il vaut tout autant que les autres chiens, et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2,37 $ maintenant et 0,50 $ chaque mois jusqu'à ce que j'aie fini de le payer.". L'homme contrecarra. "Tu ne peux pas acheter ce chiot, vraiment ! Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Aime d'autres chiots.". Alors,le petit garçon se pencha vers le bas, puis il enroula la manche de son pantalon, et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal. Il regarda l'homme et dit : "Je ne cours pas très bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne.". À ce moment, l'homme mordit sa lèvre inférieure. Des larmes lui piquaient les yeux... Il sourit et dit : "Mon garçon, j'espère et prie pour que chacun de ces chiots ait un propriétaire tel que toi.".
Dans la vie, peu importe qui vous êtes... si quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime inconditionnellement. Un vrai ami est celui qui se rapproche quand le reste du monde s'éloigne...
Source : Inconnu | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: Les Yeux de l'Ame Sam 18 Juil 2009 - 17:53 | |
| Ce qui suit est une très belle histoire... à lire jusqu'au bout car elle donne à réfléchir...
Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits.
Les amoureux marchaient, bras dessus bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent...
Un matin à l'heure du bain l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre mort paisiblement dans son sommeil. Attristée elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière heureuse de lui accorder cette petite faveur s'assura de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement péniblement le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or tout ce qu'il vit fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Épilogue : Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur mais le bonheur une fois partagée, s'en trouve double.
Si vous voulez vous sentir riche vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau c'est pourquoi on l'appelle "présent".
Source : Inconnu | |
| | | Sylvie Admin
Localisation : cambrai Messages : 1545 Date d'inscription : 21/03/2009 Age : 61
| Sujet: Il était une fois une île… Sam 18 Juil 2009 - 18:02 | |
| Il était une fois une île où tous les différents sentiments vivaient :
le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta.
L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?" "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."
L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."
La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi." "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"
Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !
Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi." C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir "Qui m'a aidé ?" "C'était le Temps" répondit le Savoir. "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour. "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?" Le Savoir sourit, plein de sagesse, et répondit : "C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie."
Source : Inconnue | |
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