Voici les deux poèmes refusé par le modérateur 7 de aff alias P..... également modo 4, 9 et d'autres fiches et qui soit disant sont des plagiats :
Renouveau.
Le souffle de la jeunesse lentement va se hausser,
Parmi la longue durée des sinoples fleurissant,
Pirouettent les volatiles se retrouvant submerger,
Entre les masses d'air, les nues, et leurs chants.
Je clopine à l’avant de ce souffle d’autan,
Tantôt l’aquilon balaye tout et gronde,
Afin d’annoncer la venue le printemps,
Il braille de sa gorge gutturale et profonde.
A l’endroit sur lesquels grandissent les dahlias,
Ou Orséis s’amuse, un concerto, indolente risée,
Fourmillant parmi le regain, dans les bras,
Sa respiration embaumée te produira l’alizé.
Le maraud subsiste à entendre les avis,
Arborant les termes, les feuilles, parmi le Nord,
Il façonne nos songes, des morceaux reproduits,
Afin de louer les sursauts de l’ardeur au bord.
Généreux zéphyr de son haleine glaciale,
Donnant des coffrets flavescents, quand la lune,
Apparaît à son croissant, d’une bacchanale,
Il ameute les étoffes de grèges, sur les dunes.
De la rumeur débattu, au claire mutisme en guise,
Des banderoles scintillantes aux lettres se traçant,
Son effluve répandu t’administrera une bise,
La vigueur se répand en un énorme bond surprenant.
Vestiges.
Sur la hauteur des monts, collines, au lointain,
Derrière les lierres, les ruines, les fougères,
Là où la végétation s'est infiltrée dans main,
L'érosion a fait tomber des pierres.
Traversé par le zénith, le pinceau,
Qui expose les cycloïdales d'une vie,
Où des beffrois on évoque tout en haut,
Saisir une ablution de dôme les vigies.
Où, au milieu des montagnes, tel phare,
Dont les saltimbanques trouvaient refuge,
Se réfugiaient par ces murs Cathares,
L'errant l'on accueillait pendant déluge.
Maintenant, il demeure des flancs de façade,
Afin de se joindre ces miscellanées de nature,
Ou gésir encore à l’endroit, où les touristes paradent,
Et de facture des chairs en armures.